Réunion du Collectif, lundi 15 janvier 2024
La neige a retardé cette réunion et nous étions pour moitié en visio.
Présent·es : Angèle, Agnès, Thomas, Estelle
Excusé·es : Elodie, Stéphan, Cédrick
Visio : Danielle, Walter, Elisée.
Damien Verhille s’engage à venir nous présenter la « fresque du facteur humain » à une prochaine occasion.
>>> Prochaines réunions : le mercredi 14 février (Saint-Valentin) puis le mercredi 6 mars
NB : Le 6 mars, les personnes intéressées par le sujet des relations entre la doume et Soli’Doume se réuniront au local d’ATTAC (centre Jean Richepin) dès 14 h.
CALENDRIER
8 février 18h30 : discussion préparatoire grand table de Sauxillanges et SSA (Escale, Mairie de Sauxillanges)
30 mars (à confirmer) AG annuelle, centrée sur les aspects financiers et le plan stratégique.
4 mai : fête des Possibles à Blot l’Eglise (Danielle, Jennifer)
4 et 5 mai : Foire Humus à Châteldon ( Agnès + ?)
du 8 au 12 mai : Rencontres Nationales en Haute-Savoie. Qui vient ? familles invitées
05 juin 14h – 17h, Atelier Participatif des Résiliences (CISCA) : Quel intérêt d’une monnaie locale pour favoriser un tourisme local durable ?
juillet (9 ou 12) : grande table à Sauxillanges
1er ou 8 décembre (à confirmer) : marché de Noël à la maison du Peuple
Invitations associations et collectivités : voir framateam
ORDRE DU JOUR
I – INFORMATIONS
1)- La fédération Kohinos a versé 1370 euros pour Pascal Tellier (notre prévisionnel 2023 dit 2000€ ; nous avons reçu 500 + 1370€… donc à peu près correct !)
2)- Le mouvement SOL a engagé Angèle comme spécialiste de l’alimentation, pour 40 jours de travail. Ces 40 jours seront pris sur son temps habituel. Autrement dit l’ADML63 “prête” sa salariée pendant 40 jours, et en échange elle reçoit 20 000 euros qu’elle emploiera à payer la prestation d’un professionnel de la communication.
>> A mettre à l’ordre du jour du prochain Collectif.
3)- Cotisation par prélèvement : On continue pour les professionnels, pour les adhérents, plus tard.
=> Au premier novembre, Angèle a envoyé l’option prélèvement automatique à tous les pros avec 8 retours dans un mois… après plus rien. Il faut renouveler la proposition et la renforcer quand Shanna ira les voir.
=> Pour les pros seulement (qui normalement ont des e-doumes sur leur compte), on acceptera le virement en e-doumes, bien que ça représente un travail manuel pour les trésoriers. Le prélèvement automatique en e-doumes est demandé mais loin d’être développé.
4)- Message aux adhérents simples (qui comprend aussi les pros) :
En parallèle, une lettre de rappel sera envoyée aux adhérents individuels qui ne sont pas à jour. On peut y évoquer la possibilité future de cotisation automatique en euros par prélèvement SEPA, déjà en place pour les pros.
5)- Identification et traitement des blocages :
Comme décidé la dernière fois, la demande d’agrément est complétée par « Je m’engage à payer mes fournisseurs en doumes quand ils font partie du réseau, et s’ils n’en font pas partie, à les inciter à le rejoindre. »
Le non-paiement en doume des fournisseurs de Satoriz est en voie d’être réglé. Concernant l’Eau Vive ce sera peut-être impossible, les gérants locaux n’ayant aucun pouvoir sur les flux financiers.
Mise à jour des comptes de doumes non nanties : Walter doit contacter tous les gestionnaires locaux et comptoirs ; par ailleurs il prend provisoirement le rôle de gestionnaire local de Sauxillanges (acté).
Blocages du fait des comptables des entreprises : Un canal a été créé sur Framateam : “ Recensement des comptables « amis de la doume » – il est désormais accessible !
6)- Nous avons adhéré au PAT des Combrailles (Jennifer, Isabelle)
7)- Demander une augmentation de cotisation à la Ville de Clermont ? Agnès serait pour attendre encore un peu.
8)- Rencontres nationales du 8 au 12 mai 2024 : 1ère réunion de coordination jeudi 25 janvier 2024 de 19h00 à 20h30 – Danielle y sera.
II- Réponse à appel à projet ANCT (via le mouvement SOL):
Le Réseau National Agricultures et Ruralités (qui fait partie de l’ANCT) lance son nouvel appel à projets, Animation Nationale et Inter-régionale pour Mêler Enjeux Ruraux et Agricoles (ANIMERA)
Deadline 31 janvier. Angèle précise :
Je prépare un dépôt de dossier au nom du Mouvement SOL pour soutenir le développement des monnaies locales dans les zones rurales.
Comme on a dans notre stratégie de « trouver des ressources pour embaucher quelqu’un », notamment pour développer le réseau, j’ai fléché la proposition là-dessus. Je l’ai nourrie avec le projet sur la précarité agricole qu’on avait déposé avec le CISCA, le Cresna, Bio63, les CIVAM, Solidarité Paysans, LieU’topie et le CCAS de Cournon, parce que l’appel à projets demande explicitement de faire le lien entre enjeux agricoles et ruraux. Ceci dit, je peux faire plus simple. Le Lien, par exemple, présente juste son projet de recrutement d’un chargé de développement sur un territoire rural donné.
Je pense demander 30 à 40K par monnaie partenaire, de quoi créer un poste, quoi. Il faut valoriser du co-financement qui ne soit pas public, donc des cotisations par exemple, ou des fonds privés (c’est pour ça que je parlais de déposer le même projet auprès des prix de la Fondation Crédit Coopératif).
=> Accord général pour ce beau projet. Dans le contexte actuel où se mêlent survie des agriculteurs et précarité alimentaire, les monnaies locales doivent faire leur devoir et elles ont besoin de salariés.
III– Plan stratégique, le temps de la priorisation.
Nous avions listé toutes les idées de stratégie émises depuis un an, et nous en avons fait un tableau “aide aux choix”, avec la consigne : cocher les 5 actions les plus nécessaires et les 5 actions les plus faisables, sans que les choix de la faisabilité influencent les choix de la nécessité. Puis on fait la somme des deux, on choisit les 3 qui cumulent nécessité et faisabilité.
22 réponses, ce qui est plutôt satisfaisant.
Les choix deviennent clairs :
– en 1, “Concevoir, imprimer et diffuser des fiches papier différentes selon GL et services. Parallèlement concevoir un annuaire avec publicité payée par les pros une fois par an”.
–> un travail pour Shanna ? Elisée veut bien se charger du groupe.
– en 2, “Identifier et traiter les blocages, au niveau des pros, au niveau des comptoirs.”
→ Danielle se charge du groupe. Demander également si le Collectif élargi a des trucs à dire par rapport à ces blocages. Créer un canal « Blocage » sur le framateam.
– en 3, “Décider d’une communication grand public, tous médias, moderne, en s’appuyant sur notre historique (avec professionnel).”
→ Walter et Stéphan se chargent de trouver le professionnel idéal. Par ailleurs, demander au Collectif élargi « quelles actions/moyens/formes de com’ vous paraissent essentielles/utiles ? Qu’est-ce qui peut renforcer la visibilité de la Doume ? »
A égalité avec le 3, il y avait aussi “possibilité de vente en ligne en e-doume”, mais il s’agit d’un développement informatique qui est déjà envisagé au sein de la fédération Kohinos.
IV– Comment fêter l’anniversaire de la doume ?
Avril ?
Peut-être aussi en fonction de notre stratégie communication (mais il faut avancer vite sur la stratégie)
>> Sur Clermont de préférence. Peut-être prévoir en intérieur, mais avec une possibilité d’être dehors ?
V-Les trucs pratiques dont on n’a jamais le temps de parler
– Cotisations croisées :
Agnès souhaiterait une liste des cotisations croisées ! Et qu’on décide en Collectif des nouvelles cotisations croisées.
– Cotisations de pros à la limite des deux départements (comme Alice qui est dans l’Allier et qui cotise au Soudicy et à la Doume)
Mais cela pourrait intéresser d’autres pros qui sont sur les marchés.
>> On pourrait faire une convention avec le Soudicy stipulant que lorsque qu’un pro cotise au Soudicy, il cotise aussi à la Doume pour un euro supplémentaire. Agnès rédige la convention et la soumet au Collecitf.
– Problèmes de spams avec l’adresse compta@doume.org – Angèle supprime l’adresse puisque personne ne l’utilise – Création d’une nouvelle adresse ?
– Amélioration du logiciel : on continue à demander des mails de rappels en fin d’adhésion. C’est sur la liste de Julien, qui doit faire un devis global des améliorations demandées, dans l’espoir que le mouvement SOL le prenne en charge dans ses demandes de subventions pour le numérique.
– Prochaine réunion de la SCI de l’Estran le 19 janvier, 14h. à l’Echappée Belle. La vente des locaux est fixée au 1er mai. Quelle est l’intention de l’ADML63 ? Au point où ça en est, il faut se désengager et récupérer les 600 euros – Danielle se charge de les prévenir.
– Comment rendre accessibles en téléchargement les documents utiles pour tout le monde (comptoirs etc.) ? (bulletin d’adhésion, demande d’agrément, etc.) Objectif : mettre les documents (comme les bulletins, la charte etc.) en accès direct, pas besoin d’être connecté. (Angèle)
– Inscription sur framateam, continuer, pratiquer – Si vous n’êtes pas inscrits, faites-le et dites-le à Angèle.
VI- Soli’Doume
– Suite à la démission de Marion,l’annonce a été réouverte. Deux candidats ont été sélectionnés, nous les prenons tous les deux.
– Dossier Carasso : il faut être soit éligible au mécénat (pas notre cas), soit une entreprise, donc le Cresna va déposer et valoriser l’ADML comme prestataire. C’est pour le 28 janvier, il faudra être réactifs pour fournir des devis.
– élaboration d’une convention ADML63-CISCA
Objectif : faire une convention pour la répartition des fonds dédiés au projet Soli’Doume.
– Réflexion sur les objectifs de l’ADML à travers Soli’doume : trouver une date, plutôt un jour de Collectif puisqu’il faut que les gens du Collectif soient présents.(6 mars)
– Appel à projet du Programme National de l’Alimentation https://agriculture.gouv.fr/alimentation-nutrition-et-climat-lancement-dun-appel-projets-2023-2024 :
réponse du Collectif SSA national, besoin d’une lettre d’engagement des structures : https://docs.google.com/document/d/1yrMwG6Sw2gp12L7HsZ3JGyI3EgorGbHOxD__W7vypjM/edit –
=> c’est fait.
– Le CISCA va déposer une demande de subvention (voir le projet en Annexe 2) pour 60k-70k : demande de validation de notre participation => c’est fait.
– Soli’Cagnole demande des variantes à Julien Jorry par rapport à Soli’doume. Que les membres du groupe Soli’doume aille voir en Annexe 3 (c’est la Cagnole qui payerait et on n’est pas obligés de changer)
FIN
ANNEXE 1
Dernières statistiques de Stéphan
On est comme une banque de dépôts.
L’ACPR est claire, 1 million en transactions numériques entre les clients de la banque, or
– adhérent_prestataire (paiement mobile) 83 914
– prestataire_adhérent (salaire ou équivalent 22 353
– prestataire_prestataire (virement pro) 160 065
– adhérent_adhérent (paiement) 2 803
Total : 269 135 pour l’année 2023.
Loin, très loin du million et de l’ACPR.
Cette année l’émission de monnaie a été faible, surtout côté billet (CB pour 39%) ; la reconversion lui est supérieure de 12 000 unités. Malgré les nouveaux pros, le volume d’échange visible* reste globalement stationnaire pour la 5ème année à 414 082 (petite hausse 4%).
Pas d’évolution notable, le stock de monnaie numérique augmente lentement mais pas le nombre d’utilisateurs (58 pros, 112 adh), nombre qui se réduit si on cherche « utilisateurs réguliers » ou « réception ET émission de virement » pour les pros.
* Volume d’échange visible : mon baromètre à moi, total des transactions numériques + dépôts de billets, ce qui nous donne le « PIB minimum visible », plus utile que le taux de reconversion qui était catastrophique cette année (107 %).
ANNEXE 2 : Le projet déposé par le CISCA pour participer à des financements octroyés au développement de la sécurité alimentaire
Résumé du projet
Il s’agit d’une proposition globale appuyée sur les travaux de thèse de Morgane Dovergne, pré-doctorante au sein du CISCA. Elle se chargera dans ce projet de l’ensemble des apports théoriques, et l’enjeu vise à construire des propositions opérationnelles. Il s’agit d’une proposition large qui pourra être affinée lors de la rédaction.
Contexte
En réponse à la globalisation de l’alimentation, associée au modèle agro-industriel, et à la distanciation géographique vis-à-vis de la production et de l’alimentation qui en découle, on assiste à une réappropriation de ces questions à l’échelle locale. A l’aube de cette territorialisation de l’alimentation, se déploient des outils de réappropriation des questions d’agriculture et d’alimentation à l’échelle locale et dans cette perspective, les Projets Alimentaires Territoriaux (PAT) traitent l’alimentation de manière plus systémique, et outre la relocalisation de la production agricole, ils prennent davantage en compte l’accessibilité sociale et la nutrition et santé.
Problématique
Dans le cadre de ce projet, nous souhaitons nous appuyer sur le dispositif des PAT pour étudier le développement d’un système alimentaire qui intègre à son déploiement les enjeux de santé humaine et de santé environnementale. Nous faisons l’hypothèse que la thématique de la santé, à travers le concept « Une seule santé », est pertinente pour fédérer les différents acteurs du système alimentaire et favoriser une approche systémique des questions agricoles et alimentaires, notamment en prenant en compte les enjeux environnementaux.
Une seule santé
Le concept “une seule santé” repose sur un principe selon lequel la protection de la santé humaine passe par celle des animaux et de leurs interactions avec l’environnement. En raison de leurs liens étroits, l’alimentation est au cœur des enjeux de santé. D’une part, l’alimentation représente l’un des principaux déterminants de la santé humaine. D’autre part, tandis que chacune des étapes du système alimentaire détermine la qualité de notre alimentation, celle-ci détermine, via nos choix de régimes alimentaires, la production agricole et ses impacts sur l’environnement dont l’état influence aussi notre santé. Il est donc important de mettre la sécurité alimentaire et la santé au centre de tous les dispositifs publics et de faire de la santé commune une priorité pour nos sociétés. La santé pourrait ainsi représenter la porte d’entrée pour toutes les politiques visant à assurer la sécurité alimentaire. « Utiliser l’alimentation et les systèmes alimentaires comme vecteurs de changement est donc sans doute la démarche politique et juridique la plus directe pour mettre en lumière les liens entre santé de l’environnement et santé humaine et pour œuvrer ainsi à la double résilience, sociale et écologique. » (Negrutiu, Escher, & Collart Dutilleul, 2019).
Le concept « Une seule santé » nous semble particulièrement opérant pour tendre vers l’élaboration de Projets Alimentaires Territoriaux qui lient l’impératif de sécurité alimentaire avec la perspective d’un développement à durabilité forte. Toutefois, si la pertinence de ce concept tend à être démontrée, il peine encore à être opérationnalisé.
Objectifs
En nous appuyant sur le dispositif d’action publique « Projet Alimentaire Territorial », nous proposons de mener un projet de mise en réseau d’acteurs dont l’objectif sera de penser la transformation des systèmes alimentaires pour améliorer la triple santé du territoire. Au sein de trois PAT du Puy-de-Dôme, nous nous interrogerons sur l’applicabilité du concept « Une seule santé » aux systèmes alimentaires étudiés, dans sa propension à favoriser le dialogue et la mobilisation des acteurs sociaux, dans une perspective durable et résiliente.
Les territoires pourraient aborder les enjeux liés à la santé unique à travers différents outils d’action publique. Cependant, l’approche encore trop sectorielle peut rendre une démarche systémique difficile à appréhender. Nous étudierons au prisme du concept « Une seule santé » les instruments d’action publique mobilisables à l’échelle des collectivités territoriales porteuses des PAT pour agir sur les questions d’une seule santé et la manière dont peuvent être articulés ces différents instruments en vue de transformer les systèmes agricoles et alimentaires. A travers ce projet, il s’agit d’expérimenter une approche opérationnelle et transversale de la question alimentaire, à travers la mobilisation de PAT du Puy-de-Dôme, ainsi qu’un ensemble d’acteurs acteurs socio-économiques travaillant sur les questions de santé et d’alimentation.
Ainsi, les PAT en collaboration avec les acteurs des territoires pourront tester des dispositifs d’action publiques co-construits permettant une approche élargie de la question alimentaire. Les méthodes développées et les actions engagées auront vocation à être transférées à l’échelle d’autres PAT à l’échelle régionale et nationale.
Acteurs pré-sentis dans l’engagement du projet
Les PAT :
Trois territoires dans le département du Puy-de-Dôme, aux dynamiques très différentes, seront désignés comme territoires d’étude : le Grand-Clermont et Parc Naturel Régional du Livradois-Forez (PNR LF), les Combrailles, et la Communauté de commune du Massif du Sancy. Les territoires visés, très étendus, recouvrent des réalités géographiques, socio-économiques, socio-culturelle et des réseaux d’acteurs très différents. Ils sont pourtant confrontés à des problématiques similaires. Ainsi, a émergé dans le courant de l’année 2022, une volonté d’une meilleure coopération inter-PAT au sein de réunions régulières. Participer à un projet de coopération déployé à l’échelle de ces trois territoires représente alors une opportunité pour accélérer cette dynamique, jusqu’alors embryonnaire. L’enjeu sera de lier des niveaux de maturité et des dynamiques différents pour répondre à un enjeu commun. L’ambition sera aussi celle d’une comparaison permettant à la fois de contribuer à des synergies entre ces territoires et une montée en généralité des résultats de ce projet, les rendant ainsi d’autant plus transférables et diffusables à une échelle nationale.
Les acteurs réseaux de l’agriculture :
BIO63, CIVAM participent aux développement d’une agriculture et d’une alimentation respectueuse de l’environnement, notamment par le soutien au agriculteurs et producteurs, mais accompagnant également les distributeurs. Ce sont des acteurs investis depuis de nombreuses années aux côtés de structures du monde social, notamment sur les questions alimentaires. Ils font tous partie de réseaux régionaux ou nationaux, permettant ainsi de rendre les expérimentations au sein de ce projet diffusable à l’échelle d’autres PAT.
Acteurs réseaux de la distribution/transformation :
L’ADML63 promeut et développe la monnaie locale dans le but de favoriser des échanges de biens et de services. L’association œuvre notamment dans le domaine alimentaire par le soutien et la mise en évidence de circuit locaux et favorise ainsi le mieux manger pour tous, notamment pour le co-portage du projet Soli’doume.
La CAAP œuvre au développement de solutions de transformation et de distribution par l’accompagnement variés. Au-delà de l’accompagnement, elle porte un projet collectif autour d’une alimentation responsable.
Acteurs de la transformation des pratiques :
Anis étoilé œuvre pour permettre à toute personne de mieux comprendre les enjeux liés à l’alimentation, et ainsi pouvoir agir en conscience par rapport à ses choix alimentaires, dans sa vie et sur son territoire. Elle interroge les rapports que les êtres humains entretiennent avec le vivant, la terre et la nourriture. Elle a pour principale activité le développement d’une compréhension globale, systémique des rapports entre alimentation, santé, cultures, environnement, économie et sociétés.
Cocooking est une association clermontoise qui propose de rassembler des personnes pour qu’elles cuisinent ensemble. Elle tisse des liens avec les cuisiniers participants et avec les commerces locaux auprès desquels les produits sont achetés.
La compagnie les Guèpes Rouges est une compagnie de théâtre qui visent à créer des expériences collectives en plaçant le processus démocratique au cœur de leur travail. La compagnie développe un travail hors les murs afin d’ancrer son travail dans l’espace social au sens large. Ils peuvent ainsi développer des dispositifs de co-construction avec les citoyens innovants.
CoCoShaker est un incubateur d’entrepreneurs sociaux qui œuvrent à l’émergence de d’expérimentations sur les territoires, notamment via leur projet Épicerie des Idées, et les sprints de territoire, méthodologies qui permettent de recueillir les besoins et les idées.
Acteurs du social/santé
L’ADSEA 63 rassemble des acteurs qui veulent intervenir dans le champ de l’action sociale pour les jeunes et les familles en difficulté, en privilégiant l’action éducative.
La MGEN est une entreprise mutualiste qui gère à la fois l’assurance maladie et la complémentaire santé, accompagne les adhérents dans la prévention des risques, et cogère des établissement de santé.
ANNEXE 3 : les demandes de la Cagnole pour Soli’Cagnole
Améliorations et extensions de SoliMLC
La Cagnole s’allie avec Bio Bourgogne FC, Terre de Liens BFC et bien d’autres pour créer SoliCagnole pour agir dans l’Yonne quand à rendre accessible à toutes et tous l’agro-écologie locale
Aussi SoliCAgnole devrait bénéficier de fincnements permettant d’améliorer et d’étendre SoliMLC dans le Kohinos
8.1/ Une ligne de compte spécifique pour la caisse
Quand un membre de la monnaie contribuerait à la caisse, il recevrait son allocation sur une ligne de compte spécifique dans sa page :
sous « solde e-mlc »
il y aurait « solde e-caisse X » (X étant le nom de la caisse)
Avec cette ligne de compte, la liste des prestataires se limiterait aux prestataires conventionnés, permettant ainsi de réserver au seul alimentaire ces dépenses
Il faudrait, dans la page de gestion des prestataires rajouter une case à cocher « conventionné par la CAisse X »
8.2/ Répéter les modifications pour une seconde caisse
Si nous allons mettre une caisse départementale en service, nous mettrons sans doute des caisses ultra-locales co-portées par des collectivités, caisses devant agir sur leur territoire restraint
Quand un membre de la monnaie contribuerait à la caisse ultra-locale de sa résidence, il recevrait son allocation sur une ligne de compte spécifique dans sa page :
sous « solde e-mlc »
il y aurait « solde e-caisse X » (X étant le nom de la caisse) (seulement s’il y participe)
puis « solde e-caisse Y »
Avec cette ligne de compte, la liste des prestataires se limiterait aux prestataires conventionnés par cette caisse Y, permettant ainsi de réserver au seul alimentaire ces dépenses
Il faudrait, dans la page de gestion des partenaires rajouter une case à cocher « conventionné par la CAisse X »
8.3/ Pouvoir faire des paiements complémentaires avec les différents soldes
8.4/ Pouvoir intervenir sur le montant de l’allocation avant son versement
Quand l’association ou un partenaire institutionnel ou financier veut soutenir le niveau de l’allocation versée, il faut pouvoir intervenir le jour j-1
Demande de devis à Julien pour ces trois extensions/évolution.
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